Bruno Elisabeth - La route de la Voie de la Liberté from MACHINEMACHINE on Vimeo.
Réalisation vidéo : Dorothée Lorang & David Beautru : machinemachine.tv/
Musiques : Chevo Legé et Guinea Pig avec l'aimable autorisation de Thomas Fernier.
12/06/2014
Le photographe, la guerre et ses traces
Roger Fenton et sa chambre noire mobile durant la guerre de Crimée 1854-1856.
La photographie et la guerre entretiennent une relation ambivalente.
Parfois bienvenue sur les terrains d'opération, la photographie fut
également tenue à distance. Depuis la guerre de Crimée de 1853-1856,
jusqu'aux troubles actuels en Ukraine et en Crimée, c'est une histoire
longue de 150 ans qui lie cette technique d'empreinte du réel à cette
triste réalité. Le propos est ici d'en dresser les principales évolutions
pour s'interroger ensuite sur le regard que portent les artistes
photographes, notamment documentaire, sur cette relation.
Jeudi 12 juin 2014
20 h 00
Entrée libre et gratuite / sur réservation
Dans le cadre de l'exposition : La Route de la Voie de la Liberté de Bruno Elisabeth
05/06/2014
"Un photographe au collège" - Atelier de pratique artistique photographique dans le cadre de la résidence mission "La route de la Voie de la Liberté"
D’un point de vue pédagogique « La Route de la Voie de la Liberté » a
fait l’objet d’interventions auprès d’adolescents de classes de 3ème.
La seconde guerre mondiale est inscrite au programme de ce niveau de
collège, le projet s’articulant autour des notions de mémoire, de guerre
et de représentation photographique.
Bruno Elisabeth est intervenu aux collèges Émile Zola et
la Binquenais à Rennes, Pierre Perrin à Tremblay et Jacques Brel à Noyal
sur Vilaine. Ces séances, articulées autour de la problématique
suivante : «pourquoi et comment photographier la guerre» ont permis de
mettre en perspective l’histoire de ce médium dans un contexte de
conflit armé.
Du reportage de terrain, au documentaire historique, de la mise en
scène à la photo prise sur le vif, du noir et blanc à la couleur,
ce sont plus de 150 ans d’histoire de la photographie qui sont ici
traversés.
Après la théorie, la pratique. Autour d’images d’archives, l’artiste
a proposé aux élèves de retrouver le lieu où ont été prises des
photographies de la libération, afin de les re-photographier. Ces documents ont été fournis par les archives municipales de Rennes.
photographies de la libération, afin de les re-photographier. Ces documents ont été fournis par les archives municipales de Rennes.
S’inspirant des «Ghosts of History», photomontages numériques
reliant des événements historiques à leur contexte actuel, les
élèves ont composé des images mêlant passé et présent à partir
des documents d’archives et de prises de vues réalisées 70 ans après
les événements.
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