12/06/2014

Le photographe, la guerre et ses traces



Roger Fenton et sa chambre noire mobile durant la guerre de Crimée 1854-1856.


La photographie et la guerre entretiennent une relation ambivalente. Parfois bienvenue sur les terrains d'opération, la photographie fut également tenue à distance. Depuis la guerre de Crimée de 1853-1856, jusqu'aux troubles actuels en Ukraine et en Crimée, c'est une histoire longue de 150 ans qui lie cette technique d'empreinte du réel à cette triste réalité. Le propos est ici d'en dresser les principales évolutions pour s'interroger ensuite sur le regard que portent les artistes photographes, notamment documentaire, sur cette relation.

Jeudi 12 juin 2014
20 h 00
Entrée libre et gratuite / sur réservation
Dans le cadre de l'exposition : La Route de la Voie de la Liberté de Bruno Elisabeth