11/12/2013

Atelier de pratique artistique - La route de la Voie de la Liberté

Collège Pierre Perrin de Tremblay dans le cadre de la résidence mission
“La route de la Voie de la Liberté”




Projet soutenu par le Conseil Général d'Ille-et-Vilaine et Antrain Communauté
Coordination le Village, site d'expérimentation artistique
Partenaires : les Archives Départementales d'Ille et Vilaine et le collège public Pierre Perrin de Tremblay
Enseignants : Virginie Laillé, enseignante d’arts plastiques, Vincianne Debled, enseignante d’histoire/géographie
Public : 3ème Darwin et Newton, 50 élèves


Déroulement des ateliers

Vendredi 6 décembre 2013
- La photographie et la guerre

Après une présentation du travail artistique et du projet « La route de la Voie de la Liberté », cette séance a permit de resituer l’histoire de la photographie de guerre et de dresser une rapide typologie de ce genre photographique : du reportage de terrain au documentaire à postériori, de la mise en scène à la photo prise sur le vif, jusqu'aux démarches de plasticiens qui interrogent la guerre et sa mémoire par le biais de la photographie.

Mardi 10 décembre 2013
- Atelier de création - prises de vues

L'atelier vise ensuite à procéder à un retour sur traces par le biais du médium photographique. Devant l'absence de photographies représentant le bourg de Tremblay durant la période de la libération, c'est à partir de cartes postales anciennes que cet atelier s'est ensuite déroulé. Les élèves ont d'abord identifié les lieux représentés sur les cartes postales collectées, puis s'y sont rendu afin de les re photographier avec les moyens contemporains, en tâchant de s'appliquer à coller au mieux aux différents paramètres de la prise de vue originale.

 
Mercredi 11 décembre 2013
- Atelier de création - retouches et photomontages

Les élèves assemblent ces corpus anciens et contemporains en vue de produire des images hybrides réalisées avec le logiciel de retouche d'images Gimp.


Les travaux réalisés par les élèves à partir de ces images sont ensuite finalisés dans le cadre des enseignements d'arts plastiques...

06/12/2013

Papiers(s) 2, salon d'édition d'art et rencontres autour de l'édition en art contemporain


Informations :
Nathalie Georges (Chargée de mission pour ACB)
Bureau temporaire au Phakt - Centre culturel Colombier
5 place des Colombes
35000 Rennes
Tel. 02.99.65.19.70
acbevenement@gmail.com

10/11/2013

50 ans d'art vidéo - Vidéo USA, documenter et présenter l'art vidéo à la télévision



 
Le quartier des arbres à palabres




Jardin des théories, des sensibilités et des pratiques 
(Salle Seita - Friche Belle de Mai de 9h à 12h, du 8 au 11 novembre)


Dimanche 10 novembre 2013 : Questions d’origines
- Retour sur une genèse : Histoires et mythes de l’art vidéo par Grégoire Quenault.
- Vidéo USA, documenter et présenter l’art vidéo à la télévision par Bruno Elisabeth.
- Projection de Vidéo USA : Le monde de Nam June Paik (52′), émission produite et réalisée par Catherine Ikam et Adrian Maben, diffusé le 19 juin 1980 sur Antenne 2 (Annulée, remplacée par) :
- Nam June Paik plays piano pieces, vidéo documentaire, Le Fresnoy, avril/mai 2006.

Plus d'informations : http://www.instantsvideo.com/blog/fr/archives/category/accueil

08/11/2013

Autour du feu, enjeux d'un phénomène insaisissable



Université Jean Monnet de Saint-Étienne
vendredi 8 novembre 2013
Salle des spectacles de la Maison de l’Université


Feu et cinéma : Présidence Laurence Tuot
 
14h00 / Bruno Elisabeth (Université de Rennes 2) : Le film en flamme – relations ambivalentes d’un phénomène physique à un médium.
14h30 / Olga Kobryn (Université de Paris 3) : La métaphysique du feu dans l’oeuvre d’Andreï Tarkovski.
15h00 / Pause
15h30 / Leland Tracy (Université de Saint-Etienne) : Pas de fumée sans feu - Fumer dans le cinéma
américain
.
16h00 / Anne-Lise Marin Lamellet (Université de Saint-Etienne) : Feux de haine et feux de joie dans le cinéma britannique contemporain : autour de la tradition de Wicker Man.
16h30 / Sandy Blin (Université de Saint-Etienne) : Comme une odeur de soufre - l'oeuvre
photographique et cinématographique de David Lynch
.

Plus d'informations : 

CIEREC, 04 77 42 16 61

Accés :
Salle des spectacles
Rez-de-chaussée de la Maison de l’Université (1 sur le plan)
10, rue Tréfilerie
Saint-Étienne

06/11/2013

Nam June Paik plays piano pieces - Nam June Paik on Stage - Nam June Paik Art Center






2013-11-06 ~ 2014-02-09
Nam June Paik, Catherine Ikam, Peter Moore, Manfred Montwe, Judd Yalkut
Nam June Paik Art Center 2F
10 Paiknamjune-ro, Sanggal-dong, Giheung-gu, yongin-si, Gyeonggi-do, 446-905 Korea


Nam June Paik was a media artist, who invented a new art medium, but above all, a great performance artist. For Paik, who extended his territory from music to visual art, performance was a place of freedom where he can meet audiences face to face, transcending traditional art genres.
It was through performance that he showed radicalism of breaking the musical instrument and exposing body, as well as a philosophical reflection to search for the connection between humans and technologies.

In celebration of the exhibition by the 2012 Nam June Paik Art Center Prize winner, this special exhibit sheds new light on Nam June Paik’s performance. This will provide an opportunity to see how Paik’s diverse works ranging from videos and other materials that recorded his performances, happenings on the street, to performances conducted to make a video have affected today’s video artists focusing on the body and movement including Doug Aitken.

In the exhibition :

Nam June Paik plays piano pieces | Vidéo | couleur | 00:12:32 | France
réalisation : Catherine Ikam
montage : Bruno Elisabeth
Production : Studio National des arts contemporains Le Fresnoy

Paik’s colleague Catherine Ikam, a video installation (sculpture) artist, made a documentary from the videos containing Paik’s reenactment of his major performances in the studio. Whereas the performer’s gestures are usually hard to observe perfectly due to a number of variables and noises in the recording of live performance, her documentary displays every single gesture of Paik. Presented for the first time in Korea, this video includes the scenes of Paik’s performance in front of chroma key green screen. Accordingly, it leaves a possibility that the late Paik can exist in a work of new time and space with image synthesis techniques.

More info : http://www.njpartcenter.kr/


23/09/2013

Get up - ACTing in Cluj


“Get Up” is an exhibition presenting eight French and Romanian artists and collectives: Poetic and politic artworks derived from urban spaces that raise questions.

10.4 - 10.27 2013
Location :  Fabrica de Pensule, Cluj, Romania
Opening : Friday October 4th 2013, 7 p.m.

BERTILLE BAK, JULIEN BERTHIER, VLAD NANCA, MIRCEA NICOLAE, GUILLAUME ROBERT et NICOLAS COLTICE, 
BIP - BUREAU D’INVESTIGATION PHOTOGRAPHIQUE,
 LES FRERES RIPOULAIN, SOCIETE REALISTE.

À travers le monde, la démocratie est exercée de manière spécifique en fonction des contextes. Diverses formes se mettent en place depuis le XIXe siècle, au sein d’états-nations régis par un nombre croissant de lois, par des institutions enracinées et par un système simple de représentation du peuple. Un espace consensuel se met en place dans ces systèmes où la confrontation n’a plus de place. Dans un même temps, les fonctionnements propres à chaque nation s’entremêlent dans un monde qui évolue vers un grand empire global. Il est temps de penser le fonctionnement et l’exercice de ce nouvel ordre. Débute cette longue construction, non plus de peuple à peuple mais de gouvernement à gouvernement. La démocratie, qui reste désirable, représente t-elle alors une utopie moralisatrice ?
À l’échelle européenne, des marqueurs du désenchantement démocratique se dessinent et mettent en doute son réel accomplissement. Le repli identitaire et le retour à la sphère privée sont perceptibles. L’importance du besoin présent de l’individu fait face au désengagement pour la construction d’un meilleur avenir commun. Dans ce contexte actuel, quel est le devenir de la démocratie, déjà dépassée et où le peuple ne peut intervenir ? La formation de sociétés autonomes, notamment par les libertés qu’offrent le web, et la culture insurrectionnelle peuvent-elles encore être considérées comme de véritables oppositions ?

Afin de repenser la démocratie pour l’accomplir, il paraît important de s’éloigner de la principale figure démocratique qu’est le régime, en tant que somme de procédures et d’institutions, pour revenir à sa définition comme ensemble de valeurs et réelle manière d’être collective. En plaçant des expériences artistiques au coeur de ce débat, l’exposition « GET UP » présente des œuvres poétiques et politiques provenant d’espaces urbains et appelant chacun à se questionner.
Alors que l’agora était hier le berceau des pratiques communautaires, représente t-elle toujours l’endroit d’expression et de représentation des populations ? L’espace urbain semble aujourd’hui être cerné par le confort quotidien et la police. Pourtant, dans une quête de production d’imaginaires démocratiques, des peuples continuent d’investir ces lieux de rassemblements, voir même d’en créer de nouveaux. L’insurrection, que l’agora voit souvent naître, représente un dysfonctionnement de la démocratie mais reste une action majeure dans la ressource corrective des institutions. Elle peut aussi être considérée comme le moment ultime de la démocratie, alors même qu’elle n’est sous l’emprise d’aucun gouvernement, d’aucune constitution et pas encore menacée d’être trahie. Cette puissance de résistance et d’affirmation, qui redonne au peuple sa souveraineté, peut-elle symboliser l’essence même de la démocratie et ainsi constituer un modèle pour son accomplissement ? La richesse de la démocratie ne réside t-elle pas dans sa critique et son inachèvement ?

ENGLISH VERSION

“The specific practice of democracy around the world hinges on differences of context. Since the 19th century various forms have developed within nation-states governed by a steadily increasing number of laws, well-established institutions and a basic system of popular representation. Consensus is becoming the rule within these systems, in which confrontation is no longer admissible; and simultaneously the modes of functioning of different nations are intermingling in a world evolving into one great global empire. It is time to analyse the way this new order works and is implemented. And so begins a long period of construction, not between peoples but between governments; does this mean that democracy, so crucial a part of popular aspirations, represents only a sanctimonious utopia?
At European level signs of disenchantment with democracy are beginning to cast doubt on its feasibility. Isolationism and withdrawal into the private sphere are now perceptible and the disengagement born of emphasis on short-term individual needs is going counter to the shaping of a better, shared future. In the present context, what is the future of a democracy whose model seems obsolete and in which people can take no active part? Can autonomous subgroups, notably those materialising out of the freedoms of the World Wide Web and the culture of insurrection, be considered real forms of opposition?
What would seem to be important in rethinking the implementation of democracy is cutting free of our main image of it – the political regime – as an aggregate of procedures and institutions, and returning to its definition as a set of values and a real mode of collective living. To make artistic experimentation a core part of the debate, the exhibition Get Up is presenting poetic and political works of urban origin that summon us to self-questioning.
The agora was once the cradle of community practices, but is it still the locus for popular expression and representation? The urban context now seems boxed in by rationales of comfort and safety, but even so, when it comes to making demands or calling for the construction of a democratic imagination, people continue to fall back on these places of assembly, and even create new ones. Insurrection, often born in the agora, represents a dysfunction of democracy and as such remains a major resource in putting our institutions to rights. It can also be considered a paroxysmal form of democracy, even though it is constrained by no government and no constitution, and is not yet under threat of betrayal. In restoring sovereignty to the people, can this capacity for resistance and self-assertion symbolise the very essence of democracy and thus constitute a model for its attainment? Does not the richness of democracy lie in its critical capability and its incompletion?”
Ann Stouvenel, curator head of the Visual Arts section, Mains d’Oeuvres - Saint-Ouen, France

GET UP
 is an artwork by Les Frères Ripoulain.

GET UP is a site specific giant slogan hand painted on the floor in order it could only be read by the inhabitants living on the top of collective buildings.

It was realized in Grigorescu neighbourhood in Cluj, Romania, July 18th, by István Szakáts and Réka Szabo.

This was the announcement of the “A.C.T. in Cluj” step as a whole, in October 2013.

Plus d'informations : http://act-democracy.eu/how_we/get-up/

28/06/2013

Collection - Orangerie du Thabor 29 juin > 1er septembre 2013


Exposition de Echelles 2

Échelles 2 est une photographie subjective de l'activité artistique régionale, elle rassemble 16 œuvres de Mathieu Bourry, Collectif BIP, Jocelyn Cottencin, Gilbert Dupuis, Laurent Duthion, Nikolas Fouré, Laurent Grivet, Guénaël Hautbois, Jean-François Karst et Jacques-Alexandre Gillois, Bénédicte Klène, Angélique Lecaille-Guilbert, Briac Leprêtre, Marc Loyon, Erwan Mével, Jean-Marc Nicolas, et Antoinette Parrau.



Œuvre acquise par le Fonds communal de la ville de Rennes en 2012.

06/06/2013

La route de la Voie de la Liberté

D 975 - Le Parc, juin 2009

La route de la Voie de la liberté est un projet photographique documentaire dont le propos est de porter un regard contemporain sur la voie symbolique, à vocation commémorative, qui retrace l’avancée des troupes de libération Américaines suite au débarquement du 6 juin 1944. Au delà d’un regard porté à cette seule voie, ce travail se présente comme le portrait d’une région. Dans une tension entre la rigueur documentaire et la liberté d’une photographie plasticienne il s’attache à mêler approches paysagère, contextuelle, commémorative ou encore spectaculaire à travers un prisme ; celui de La Voie de la liberté.

Expositions :

- La route de la Voie de la Liberté, Espaces publics, Rennes, 15 - 22 septembre, 2014.
- La route de la Voie de la Liberté, Espaces publics, Antrain Communauté, 5 juillet - 07 septembre 2014.
- La route de la Voie de la Liberté, Galerie Laizé, Le Village - site d'expérimentation artistique, Bazouges-la-Pérouse, 14 juin - 10 septembre 2014.
- La route de la Voie de la Liberté, Phakt - centre culturel Colombier, Rennes, 15 mai - 10 juillet 2014. 
- La route de la Voie de la Liberté, musée de la Libération, Fort du Roule, Cherbourg-Octeville, 1 fev. - 15 avr. 2014.



Une co-production Le Village - Site d'expérimentation artistique (Bazouges La Pérouse), PHAKT Centre Culturel Colombier (Rennes), Musée de la Libération (Cherbourg)

Le projet La route de la voie de la liberté bénéficie du soutien du Conseil Général d'Ille-et-Vilaine (CG35) – Résidence mission, des villes de Rennes et de Bazouges la Pérouse, de la communauté de communes d’Antrain, de la Région Basse-Normandie, du Conseil général de la Manche, de la Direction Régionale des Affaires Culturelles de Basse-Normandie.